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Les gouvernements convoquent régulièrement des chercheurs pour apporter les réponses les plus satisfaisantes aux non-initiés.
Chaque publication de son célèbre résumé aux décideurs [du GIEC] est accompagnée d'une couverture médiatique intense.
[les rapports du GIEC] sont le nec plus ultra de ce que la science du climat peut apporter à l'humanité.
À la base de ce rapport, c'est le working group 1. Il traite des aspects physiques du climat, de son évolution récente et de la façon dont il réagit aux influences humaines et naturelles.
Viens enfin le fameux résumé à l'attention des décideurs, qui se veut être une synthèse du tout.
Le climat est une science très vivante et très vaste dont nous ignorons beaucoup de phénomènes.
On a d'abord la météo, la variation quotidienne du temps qu'il fait. On ne peut rien conclure de la météo, car elle présente d'énormes variations en très peu de temps.
La météo moyenne d'année en année, là encore le recul n'est pas suffisant pour en tirer une quelconque conclusion.
Pour observer une véritable tendance, on doit reculer à une décennie au minimum, trois décennies dans l'idéal. C'est le climat : la moyenne de plusieurs décennies de météos.
Le climat est bien sûr régional. C'est-à-dire qu'il va dépendre d'un endroit à l'autre en fonction de la latitude, de l'altitude, de la proximité avec la mer, etc.
On peut malgré tout déceler des tendances globales, notamment par la mesure de l'élément clé : la température moyenne de la surface de la planète.
En français, le terme d'"anomalie" est péjoratif. Il symbolise une chose qui s'écarte de la norme, quelque chose d'anormal. Mais en physique, le terme anomalie symbolise simplement l'écart entre une valeur mesurée et une valeur de référence.
Pour constater les variations de températures, il faut d'abord les mesurer. Aujourd'hui cela se fait par satellites.
Ici, on observe par exemple une hausse d'environ 1,1°C depuis 1900.
Plus 0,2°C par décennies entre 1980 et 2020.
Moins 0,05°C par décennies entre 1940 et 1980.
Et plus 0,17°C par décennies entre 1910 et 1940.
On considère que les influences humaines étaient très réduites, voire négligeables jusqu'en 1950.
Les variations avant 1950 montre que d'autres phénomènes ont dû intervenir et même de façon dominante.
Les terres se réchauffent plus vite que la surface de l'océan.
Les latitudes élevées proches des pôles [se réchauffent] plus vite que les zones équatoriales.
On observe que des siècles de températures plus élevées ont précédé un petit âge de glace entre 1450 et 1850, avant de repartir sur un réchauffement plus rapide jusqu'à aujourd'hui.
Par l'étude des calottes glaciaires, on peut déceler dans les grandes lignes de changements climatiques sur des centaines de millions d'années.
On observait déjà des variations brutales de températures durant les 200 000 dernières années.
Les données antécédentes à l'apparition de l'homme n'ont pas grand intérêt, car il s'agissait d'une autre faune, d'une autre végétation.
De très puissantes forces naturelles impactent également le climat.
Il y a nécessité scientifique de comprendre avec précision ces influences naturelles si on veut identifier de manière fiable dans quelle mesure le climat réagit à l'influence humaine.
L'influence humaine sur la température est essentiellement liée à ce qu'on appelle l'effet de serre.
La température terrestre est le résultat du rayonnement solaire absorbé, qui va être source de chaleur, par rapport au rayonnement infrarouge émis en réponse, source de refroidissement.
On peut à partir de lois physiques fondamentales calculer la température moyenne terrestre qui en résulte: -18°C.
Heureusement, il existe un isolant puissant dans l'atmosphère : les gaz à effet de serre.
Grâce à lui [l'effet de serre], la Terre congelée remonte de -18°C à environ +15°C de moyenne.
L'air est composé d'un mélange très disproportionné de plusieurs gaz : 78% d'azote, 21% d'oxygène, et dans les 1% qu'il reste, la plus grande partie est constituée d'argon
En fouillant dans ce 1% on trouve les gaz à effet de serre. La vapeur d'eau, le dioxyde de carbone et le méthane
La vapeur d'eau est le plus important des gaz à effet de serre. [...] Elle représente 0,4% des molécules de l'atmosphère mais est responsable de 90% de l'effet de serre.
Le CO2 arrive en deuxième position en étant responsable de 7% de l'effet de serre.
La concentration du CO2 est quasiment homogène sur l'ensemble du globe et peut être affectée par l'activité humaine.
La concentration [du CO2] était en 2019 de 410 ppm
[la concentration du CO2] augmente d'environ de 2,3 ppm/an.
Si la quantité de CO2 était doublée par rapport à aujourd'hui, l'augmentation de chaleur n'augmenterait pas du double mais de 0,8%.
Une hausse de 1% de l'interception de chaleur peut avoir pour conséquence directe une hausse de 1% de la température.
Les centrales à charbon de mauvaise qualité sont source de CO2, mais [...] [aussi] d'aérosols (particules fines) qui ont pour effet d'augmenter la réflectance terrestre et de provoquer la formation de nuages et donc contribuer au refroidissement.
La déforestation, le remplacement de forêts par des pâturages augmente l'albédo et donc le refroidissement.
La hausse de la température va contribuer à la fonte des glaces arctiques et donc à la réduction de l'albédo, ce qui va amplifier le phénomène de réchauffement.
L'incertitude [des estimations du flux énergétique lié au CO2] est de 50%
La terre s'est formée il y a 4.5 milliards d'années avec un capital fixe de carbone réparti dans plusieurs réservoirs
La croûte terrestre contient la quasi-totalité du carbone, environ 1.9 milliard de gigatonnes.
Les océans contiennent 40 000 gigatonnes de carbone.
Les combustibles fossiles enfouis dans le sous-sol contiennent entre 5000 et 10000 gigatonnes de carbone.
Le sol et les êtres vivants contiennent 2100 gigatonnes de carbone.
L'atmosphère contient 850 gigatonnes de carbone sous forme de CO2.
Il existe un cycle de transfert naturel de carbone entre ces réservoirs, le plus connu étant par exemple la photosynthèse.
On observe que des périodes de plusieurs millions à plus de 20 fois la concentration [atmosphérique] de CO2 actuelle ont existé, avec des variations naturelles, positives ou négatives, brutales.
La planète survivra très bien à une hausse du CO2 puisque c'est la routine pour elle.
Un peu plus de la moitié de cet ajout [l'ajout de CO2 par l'homme dans les "cycles naturels"] est absorbé par la végétation et l'autre moitié vient s'ajouter dans l'atmosphère.
S'agissant du méthane, on estime à 25% la part émanant de combustibles fossiles. Les 3/4 restants étant liés à la vie bovine ou bactérienne.
Le CO2 émis est persistant. 60% des émissions d'aujourd'hui seront encore présentes dans 20 ans. Et entre 15 et 30% dans 1000 ans.
Le GIEC ne pouvant pas formuler de prédictions précises va travailler sur des RCP : Representative Concentration Pathways. Des scenarii différents sensés couvrir de larges éventails de possibilités pour la population [...] l'économie, la technologie et [...] les émissions de CO2.
Dans les "scenarii de prévisions", la gravité du niveau d'émission du CO2 est représenté par le flux thermique en W/m², de RCP2.6 W/m² à RCP 8.5 W/m², sachant qu'actuellement, nous sommes environ à 2,2W/m² avec 50% de marge d'erreur.
Leur point commun à tous est la prévision d'une forte hausse du PIB mondial et surtout du PIB par personne, signe finalement d'une plus grande prospérité personnelle en moyenne
Une analyse de 2020 révèle aussi que les scenarii de forte émission sont de moins en moins plausibles, ce qui décrédibilise les RCP délirants comme le 8,5.
Dans les scenarii, l'augmentation de la concentration atmosphérique en CO2 amène proportionnellement une augmentation de la température plus rapide : l'effet de serre.
Sans surprise, notre modèle ne va pas correctement retracer le passé.
La température de surface moyenne obtenue par les modèles varie de 3°C, c'est-à-dire trois fois plus que la valeur observée au cours du dernier siècle.
Alors qu'on s'attendait à ce que les nouvelles générations de modèles donnent des résultats de plus en plus précis, on observe plutôt l'inverse.
Les CMIP n'arrivent pas à reproduire le fort réchauffement observé entre 1910 et 1940 et simulent en moyenne un taux de réchauffement moitié moins important que celui observé.
LE CMIP6, le plus récent, qui moyenne 267 simulations réalisées par 29 modèles différents fait par 19 groupes de modélisation climatique, continue de mal décrire cette période de 1910 à 1940, mais décrit également très mal le réchauffement observé depuis 1950.
Une des prévisions extrêmement réaliste et précise d'Al Gore et du GIEC était une élévation catastrophique du niveau des eaux, jusqu'à 6 mètres d'ici à 2016.
Le niveau des eaux diffère localement [...] il dépend essentiellement de la quantité de glace présente sur la terre ferme
[Aux Maldives], il apparaît autant de surfaces d'îles qu'il en disparait.
L'investissement hôtelier aux Maldives est estimé à 518 milliards de dollars et est projeté à 864 milliards de dollars d'ici 2028
Un peu comme Obama, Bill Gates et toute leur clique qui ont des villas à des dizaines de millions au bord des côtes qu'ils annoncent pourtant bientôt sous les eaux
Dans une période d'environ 120 000 ans, le niveau des eaux passe de -120 mètres à +6 mètres par rapport à aujourd'hui.
Le niveau de la mer monte depuis 20 000 ans.
En zoomant sur le début de l'ère Holocène actuelle, il y a 12 000 ans, on observe une montée vertigineuse du niveau des eaux de 12mm/an jusqu'à il y a 7000 ans pour ralentir nettement depuis.
Depuis 1900, le niveau moyen de la mer monte en moyenne de 1,8 millimètre par an, loin des 12 d'il y a 12 000 ans.
Entre 1925 et 1940, la hausse était de 3 mm/an. Entre 1950 et 1965, d'environ 1 mm/an. Et actuellement elle est de nouveau à 3 mm/an.
La vitesse de montée des eaux semble être cyclique, au moins depuis que l'on a des mesures officielles depuis 1900, oscillant entre moins d'un mm/an à trois mm/an.
On observe que la contribution des glaciers à l'augmentation du niveau des eaux après avoir diminué de 1950 à 1990 est aujourd'hui la même qu'en 1940, ce qui rend très difficile de la justifier par l'activité humaine.
Il y a environ 48 ouragans par an et les deux tiers sont situés dans l'hémisphère nord.
On observe une évolution sinusoïdale du nombre d'ouragans dans l'Atlantique nord avec un cycle de 60 ans, potentiellement lié à l'oscillation Atlantique méridionale.
Rien ne peut prouver que l'augmentation actuelle [de la puissance des ouragans] soit liée à l'activité humaine.
On a observé une augmentation des tornades de très faibles niveaux EF0 qui sont passés à 60% du total actuel contre seulement 20% en 1950.
Pour les tornades EF1 et plus, on n'observe aucune tendance depuis 1950 et même une forte diminution des EF3+.
Le nombre de victimes aux États-Unis liés aux ouragans et aux tornades a été divisé par 10 en un siècle, comme quoi émettre du CO2 n'a finalement pas que des mauvais côtés.
On a observé globalement une hausse de 0.2%/décennie des précipitations entre 1901 et 1950 et depuis aucune tendance.
L'analyse globale n'est pas forcément pertinente. Dans les faits, on observe en réalité une grande variation locale avec les zones sèches qui deviennent un peu plus sèches et les zones pluvieuses qui deviennent plus pluvieuses.
Concernant les sécheresses et les inondations, le rapport AR5 du GIEC exprime une faible confiance sur le sens de la tendance à l'échelle mondiale.
L'analyse de l'indice de sécheresse dans le sud-ouest des États-Unis montre des fortes variations annuelles depuis les années 800, bien avant toute émission de CO2 par l'activité humaine, avec parfois même des périodes de sécheresses bien plus longues qu'actuellement.
On observe sur cette figure une diminution spectaculaire du taux de mortalité lié aux sécheresses et aux inondations.
La superficie des feux de forêts a diminué de 25% entre 1998 et 2015.
Le problème, c'est que l'écrasante majorité des feux de forêts sont le fruit de pyromanes, de feux de camps ou de brûlage de débris.
En réalité, le CO2 n'est pas un polluant, mais bien un fertilisant naturel pour la végétation. Et c'est logique, puisque la végétation repose sur la photosynthèse.
À tel point que la période carbonifère, il y a 360 millions d'années, présentait 3,5 fois notre concentration atmosphérique actuelle en CO2 et fut la période géologique la plus végétale
Les rendements agricoles ont plus que doublé ces 50 dernières années, avec un record en 2020 pour les céréales.
Les zones vertes ont augmenté de 25 à 50% sur les 40 dernières années, avec un gain de superficie de plus de 18 millions de km² en 33 ans.
En parallèle, le cours des céréales a chuté depuis 1900
Bien que la faim dans le monde ne soit pas prête d'être résolue puisqu'elle concerne encore 10% de la population, alors que nous produisons bien plus de calories que nécessaires [...] la mortalité liée à la famine a été divisé par 20 en un siècle.
Finalement, la seule donnée de baisse de rendement [agricole], a été émise par le GIEC qui considère qu'au lieu d'une augmentation de 104% du rendement de blé, on a seulement eu une augmentation de 100%.
La montée des eaux, c'est le cas depuis 12 000 ans. C'était 4x plus rapide jusqu'à il y a 7000 ans et aujourd'hui c'est sinusoïdal.
Les ouragans et les tempêtes : rien à signaler. Pareil pour les sécheresses, inondations et feux de forêts.
La végétation a augmenté de la taille d'un sixième continent grâce au CO2.
Cette méthode ultra-carrée [le red teaming], est utilisée dans tous les domaines sérieux à conséquences importantes.
Toutes les propositions de Red Team ont été rejetées par le GIEC.
Les hauts-fonctionnaire des agences scientifiques et environnementales vont nommer et choisir eux-mêmes les auteurs scientifiques sur lesquels leur rapport va se baser.[...]Ces auteurs sélectionnés ne sont pas soumis aux contraintes liées aux conflits d'intérêts.
Un auteur peut à la fois travailler pour une entreprise de combustibles fossiles ou au contraire pour une ONG climatiste et servir de base à la rédaction de ce rapport. Ceci constitue déjà un premier problème d'objectivité.
Un groupe de nombreux experts du monde entier se propose volontairement de réviser le texte préliminaire. Mais contrairement à la méthode du Peer-Review, leurs remarques ici n'auront aucune valeur. Il n'y a pas d'arbitre ou de tiers-partie pour juger qui a raison, ou qui a tort.
L'auteur principal peut décider de rejeter toute critique sans aucun motif.
Les versions finales des rapports vont être soumises à l'approbation du gouvernement et du groupe inter-gouvernemental qu'est le GIEC. Autrement dit, le résumé n'est pas seulement à l'intention des décideurs, il est carrément sous l'influence des décideurs eux-mêmes.
La Red Team est refusée, alors qu'elle est obligatoire dans tous les domaines sérieux.
Les études sont sélectionnées sans clause de conflit d'intérêt.
Il y a consensus sur la question climatique. Jusqu'à 97% des scientifiques, tous d'accord sur tout.
L'étude à l'origine de ce 97% était un énième scam discrédité après coup par la communauté scientifique et qui ne spécifiait même pas sur quoi portait ledit consensus.
La censure est un pilier majeur qui repose sur un jeu pervers d'intérêts croisés entre acteurs de différentes catégories.
Les gouvernements et les politiques en tirent [de la question climatique] plus de contrôle, plus de pouvoir et plus de taxes.
Les médias corrompus, [...] fanatisés idéologiquement qui doivent capitaliser sur le fait d'être "relevant", pertinents et cela tous les jours, plusieurs fois par jour, qui avait le choix entre dire des choses vraies, complexes et chiantes ou dire de la merde qui fait le buzz.
[Les médias] pourront se positionner du côté des gentils qui aiment le climat, la nature et les arbres et en tirer quelques bons points moraux, des subventions et autres crédits ESG bien utiles.
leur incompétence cumulée d'année en année les a conduits au flop d'audimat, et donc au flop financier
Les scientifiques eux-mêmes, qui en tirent un bénéfice sur leurs carrières, leurs financements et qui éprouve, il faut le dire, une ivresse du pouvoir qui confine à un certain sadisme [...].
Les entreprises en suivant la tendance peuvent espérer tirer leur épingle du jeu avec des subventions, des crédits ESG, du profit et un transfert de richesse par capitalisme de connivence. Et bonus, quelques bons points moraux avec un peu de greenwashing.
Les ONG et associations, qui elles aussi, pourront bénéficier de subventions et de dons pour sauver la planète. [...] des subventions qui disparaîtraient si jamais on se rendait compte que l'apocalypse n'était finalement pas vraiment justifiée.
De l'autre côté, pour parfaire la métaphore de la carotte et du bâton, toute voix ou opinion discordante s'éloignant un peu trop du narratif subira la censure, le shadowban, la marginalisation.
Les scientifiques indépendants reçoivent des menaces, voient leurs financements disparaitre, leurs contrats être rompus, leurs propres universités les boycotter et les harceler jusqu'à leur départ forcé.
Exprimer une opinion divergente vous vaut automatiquement le qualificatif à objectif de destruction sociale et économique de climatosceptique, complotiste, climatonégationniste d'extrême-droite.
Pour l'instant, seuls Haïti, le Yémen et le Malawi y sont arrivés [à la neutralité carbone]
Pour limiter l'augmentation de la température à 1,5°C, la seule solution présentée par le GIEC et les accords de Paris est donc que le monde entier réduise suffisamment ses émissions d'ici à 2075 pour une limite à 2°C et même 2050 pour une limite à 1,5°C.
[La création artificielle de nuage par l'ajout de particules fines] a déjà été testé et qui a abouti à une pluie acide en Angleterre. Ou en recourant au Cloud Seeding, c'est comme ça que Dubaï s'est retrouvé inondé cette année par exemple.
On imagine mal comment les bateaux et les avions vont fonctionner avec une batterie rechargeable.
Aujourd'hui, seulement 22% de nos besoins sont électriques.
Il existe un rapport direct entre la consommation d'énergie et l'espérance de vie, la mortalité infantile et le PIB par habitant.
La mortalité infantile des pays en développement est de 55 pour mille contre 5 pour mille dans les pays développés.
un frigo américain [...] consomme trois fois plus d'énergie qu'un africain en moyenne
il n'y a que 1,3 milliards d'individus dans les pays développés de l'OCDE
la population mondiale va augmenter d'un milliard d'ici 2050
[la population mondiale va augmenter d'ici 2050] pratiquement uniquement en dehors des pays développés
On estime que la demande d'énergie va s'accroitre de 50% d'ici à 2050
[la demande en énergie va s'accroitre d'ici 2050] avec la plus forte augmentation en Asie
Cette énergie sera vraisemblablement fournie, comme aujourd'hui, à 80% par des combustibles fossiles.
chaque fois que le monde développé réduira ses émissions de 10% [...] cela compensera moins de 4 ans de croissance du monde en développement
si l'Inde devenait d'ici demain [...] un pays développé, les émissions de CO2 mondiales augmenteraient de 25%
l'Europe entière c'est 10% [des émissions de CO2]
la France [représente] 1% [des émissions de CO2]
La Chine émet déjà aujourd'hui davantage de CO2 que tous les pays de l'OCDE réunis.
la Chine [a annoncé] qu'ils doubleront [...] leurs émissions de CO2 d'ici 2030
l'Inde [a annoncé] qu'ils [...] tripleront leurs émissions de CO2 d'ici 2030
actuellement, 80% de l'énergie mondiale provient des combustibles fossiles
les réserves de pétrole connues sont de l'ordre de 1 million 120 millions [NDLR : plus probablement 1 120 milliards] de tonnes équivalent pétrole
[les réserves de pétroles connues représentent] un siècle de réserve
Le prix du kWh est quasiment proportionnel au pourcentage d'énergie intermittente utilisée dans la production d'électricité
