Collaborative fact-checking of : Masque & Covid : Les explications d'un vrai scientifique et chercheur indépendant

... et [ancien] professeur titulaire de l'université d’Ottawa [en parlant du Pr Denis Rancourt]

qui a [Denis Rancourt] dirigé un laboratoire reconnu internationalement

qui a [DR] publié plus de cent articles dans des revues scientifiques importantes

[...]La façon de regarder les données les plus robustes (à propos de la pandémie) [...], c'est de regarder la mortalité toute cause confondue.

Il y a toujours une bosse l'hiver de la mortalité toutes causes confondues

après cela il y a un creux l'été,

c'est un patron [...] régulier

La raison [de] l'existence de ce patron [...], c'est dû aux infections de maladies respiratoires virales.

Parce que les virus se propagent l'hiver, pourquoi ils se propagent l'hiver, parce que le mode de transmission, c'est à travers de très fines particules aérosols en suspension dans l'air.

si de telles particules sont stables dans l'air elles font partie du fluide de l'air si l'humidité absolue est basse l'hiver... dès que l'humidité absolue augmente l'été c'est parce qu'elles chutent... elles sont évacuées par la gravitation

et ces maladies là ne se transmettent pas l'été pour cette raison

Cette transmissivité [...] est [...] comprise, et elle a été expliquée, grâce a ce phénomène de l'humidité absolue [...] depuis des études [...] 2010 [...] Chum et Neal [ndr noms incertains en l'état de mes recherches]

(à propos de la mise en quarantaine) Ce n'est pas justifié. C'était une pandémie de propagande... C'est de l'ingénierie sociale, c'est de la propagande, c'est fabriqué de toute pièce [...]

[...] Il y a des infections virales respiratoires [...] tous les ans, tous les hivers

Dès qu'on dit nouveau virus, nouvelle maladie, ça excite toute le monde, les chercheurs... Tout le monde se dit, [...] qu'est-ce qu'elle va nous apporter cette maladie

[...] d'un virus à l'autre, il y a toujours à peu près les mêmes satellites de symptômes pour les maladies respiratoires virales.

Les taux de mortalité [ndr : des infections respiratoires hivernales] sont toujours à peu près les mêmes

C'est très difficile d'attribuer les causes de décès dans des conditions qui sont comme celles-là. Dès qu'on a des conditions d'épidémie virale [...] il y a des causes de comorbidité[...] il y a [...] plusieures choses qui se passent.

Quand on regarde l'aire sous cette courbe de mortalité toute cause confondue par semaine, ça donne la charge de mortalité hivernale... elle n'est pas statistiquement différente que pour les dernières 10, 20 ou 30 années.

Quand on prend la charge hivernale totale, elle n'a pas augmenté comparée aux décennies passées.

Quand on regarde la courbe de mortalité toute cause confondue en fonction du temps, disons par semaine, là on s'aperçoit qu'y aurait un espèce de maximum qui a une apparence normale... suivi d'un pic très fin, très à pic et qui ne dure pas longtemps

Un pic comme ça n'a jamais été vu dans le passé. Quand on regarde les charges hivernales de cette courbe épidémiologique, on ne voit jamais un pic si fin qui est si abrupt et qui a lieu si tard dans la saison hivernale.

[...] Quand on le regarde ce pic, il est fin [...], il se termine dans 3-4-5 semaines. il y a une montée [...] subite des morts toutes causes confondues, et ensuite une chute.

...il est initié exactement en même temps dans tous les pays où il a lieu, c'est à dire à la date où l'OMS a déclaré la pandémie.

(OMS déclarant la pandémie) les juridictions qui ont suivi ces recommandations et qui l'ont pratiqué... ont eu ce pic qui a eu lieu exactement au même moment, juste au début du pic et il est monté en flèche à la date de la cette déclaration là

Partout où il y a eu cette montée qu'on peut voir dans les données, c'est arrivé en même temps.

Si on regarde [...] en Europe, et aux EU, au Canada, au Québec, en France, en Angleterre ce pic là [ndr : qui a lieu à l'annonce de la pandémie par l'OMS] à lieu de la même façon en même temps : de façon synchrone

[...] ce même pic là, anormal, [...], n'a pas eu lieu dans plusieurs États aux États-Unis [d'Amérique]

Il y a eu des pics prononcés, surtout dans des États [aux USA] démocrates

Le stress psychologique, c'est un des [...] facteur qui peut affecter le système immunitaire

Quand on est un chercheur émérite, reconnu, au Canada [...] et à l'internationnal,[...] et que l'on réalise qu'on a la société, ou le monde entier qui est dupé par une fausse pandémie, c'est quoi le premier sentiment qui nous revient ?

Je me suis fait [...] censuré d'un site scientifique [...] : Researchgate ; mon article sur les masques

Mon article sur les masques [...] avait été lu par 400'000 fois [...] sur researchgate

Mes études de la littérature scientifique [concernant le port du masque] démontrent [...] qu'y a aucun avantage en terme de réduire le risque d'attraper une maladie virale respiratoire, [...]

...y a aucun avantage qui a été démontré scientifiquement de l'apport du masque...

c'est que quand on porte un masque, ça accumule les substances qui sont dans l'air, ça les arrête sur le masque et les accumule dans des gouttelettes qui ont des pathogènes, qui ont des virus ; ça les accumule sur un matériau près de notre visage.

inévitablement la personne va bouger, toucher le masque et se toucher et toucher d'autres personnes

ça arrête en rien les particules aérosols qui elles, transmettent le virus : ni à l'entrée, ni à la sortie

si il y avait un effet significatif [du port du masque pour ne pas transmettre le virus à autrui] dans ce sens là, ça aurait été décelé dans les nombreuses études [...]

(à propos du COVID19) De toute façon c'est une grippe !