Femme politique française
Généticien français. Directeur de recherche à l'Inserm et ancien directeur de l'Institut Cochin, il préside l'université Paris Descartes de 2007 à 2011 et est président de la Ligue nationale contre le cancer depuis juin 2019.
Journaliste franco-libanais
Médecin infectiologue français
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(Christian Perronne est) Chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches
Pendant 15 ans l'un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements
[(ex) Président du] comité technique des vaccinations c'était français au ministère de la santé
Vice-Président du comité d'experts des vaccins à l'OMS, pour toute la zone Europe de l'OMS
En France, le Premier ministre Jean Castex a affirmé [...] que les vaccins seraient disponibles fin décembre [...]. La France aurait précommandé de quoi vacciner 100 millions de personnes
Je vais me faire vacciner par le vaccin ARN [...] je me ferai vacciner par la protéine de Sanofi Pasteur Glaxo, [...] par les vaccins chinois [...] inactivés, et pour les vaccins qui sont des adenovirus recombinant je n'ai pos de frayeur,
il faut être encore plus vigilant que pour tous les autres vaccins [...] J'attendrai un peu. (Sur Europe1)
La mortalité [du COVID19] est tombée à 0,05%
Les vaccins sont souvent évalués chez les personnes jeunes, plutôt en bonne santé.
[à propos des tests de vaccins] Donc on fait la aussi des extrapolations un petit peu rapide.
Pour faire un très bon vaccin il faut quelquefois des années
Cela a été fait à la va-vite sur une centaine de personnes.
On n'a jamais vu les résultats, cela n'a pas été publié
Quand on teste sur 30 000, quand on passe à des millions, il y a des effets secondaires qui ne étaient pas du tout vu sur 30 000, qui vont apparaitre.
On a un virus qui fait que 0,05% de morts et on va prendre tous les risques. Je sais qu'il y a des milliards qui poussent le truc.
On sait depuis des mois que le remdésivir est un produit qui ne marche pas, qui est toxique, pourtant un lobbying d'enfer qui a continué.
L'UE en a acheté pour 1 milliard de $ (remdésivir)
Les laboratoires nous ont répondu "on veut pas être responsables des effets secondaires". Si demain, par exemple, la France achète des vaccins de Astrazeneca, c'est la France qui va être responsable.
L'UE a signé, pour que tout effet secondaire soit dégagé de la responsabilité des laboratoires
C'est un immense scandale qui a commencé aux États-Unis [...] ils ont fait passer des lois pour protéger les fabricants de vaccins, que c'était l'état américain qui serait responsable et indemniserait s'il y avait des ennuis.
Sous la pression des Lobbies, les fabricants de vaccins ne sont plus responsables. [...] ce sera au gouvernement d'indemnisé les victimes.
Déjà aujourd'hui on ne les traite pas on les laisse mourir on leur offre le rivotril
Le vaccin chinois :ils prennent le virus, ils l'inactivent et puis après ils l'injectent pour que l'on développe une immunité contre ce virus qui est tué. [...] C'est un vaccin traditionnel.
deuxième type de vaccin : on va mettre le coronavirus à l'intérieur d'un adénovirus,{...] on va prendre un adénovirus du singe [...] Il y a [...] une manipulation génétique [...] on a moins de certitudes sur la tolérance de ce type de vaccin.
Il y a un troisième groupe dit de "vaccins". Mais alors là c'est pas du tout des vaccins. C'est là je dis qu'il y a supercherie, c'est le vaccin de Moderna, de Pfizer. C'est pas des vaccins, c'est des produits de thérapies géniques à ARN...
[ le troisième groupe] c'est des produits de thérapie génique à ARN [...] On vous inocule un ARN dit messager qui va faire que vos cellules vont coder pour des morceaux du Coronavirus
On va être des organismes génétiquement modifiés comme les tomates ou le maïs.
[la technique ARN] ça a jamais été étudié chez l'animal à grandeur réelle. L'homme va être le premier cobaye sur terre de ce type de technique.
il y a des gens qui disent cela peut définitivement modifier nos chromosomes, nos gènes et éventuellement transmettre ces anomalies à nos enfants.
[Sur: il faut refuser cette thérapie génique, sans tests et validations nécessaires} Le problème est posé {...], et il n'est pas le seul d'ailleurs. [...] Il faut voir les dommages collatéraux.
"On" se garde de généraliser les tests sérologiques pour mesurer l'immunisation de la population, on laisse circuler des sérologies mauvaises volontairement, car cela diminuerait la part du marché du vaccin.
On met des milliards sur les vaccins, on met zéro sur l'amélioration de la sérologie. Ce n'est plus de la science. On marche à l'envers.
On met le marché économique, avant la science et la médecine