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C'est inexact pour la FED aussi, qui a eu recours au QE en tout 4 fois sur une période approximative d'un an.
Novembre 2008: QE1
Novembre 2010: QE2
Septembre 2012: QE3
Mars 2020: QE4
Collaborative fact-checking of : Mort par INFLATION ? La faute des banques centrales ? (..............pas sûr quand même)
Collaborative fact-checking of the video
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At
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Pourtant dans ces deux pays (états-Unis, zone Europe) l'inflation arrive en même temps exactement en 2021. Respectivement 13 et 6 ans après l'intervention des banques centrales.
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Ce n'est pas exact. Le QE (Quantitative easing) ou APP (Asset purchase programmes) a perduré jusqu'en 2022 (PSPP).
Ce ne sont pas des action
Notons aussi que le QE avait commencé avec CBPP1 etCBPP2 dès 2009.
At
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[Le] Japon qui expérimente le quantitative easing, dès les années 2000, sans inflation.
At
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Le Japon [...] qui remet ça (le quantitative easing) en 2012, toujours sans inflation.
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"Le 4 avril 2013, la Banque du Japon a annoncé qu'elle allait étendre son programme d'achat d'actifs [...], espérant ainsi bannir la déflation et atteindre un taux d'inflation de 2 % en deux ans. "
Son but est donc bien de créer de l'inflation contrôlée.
Ce qu'elle a réussi à faire.
2013 : 1.67 %
2014 : 2.36 %
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At
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[le taux d'inflation] est toujours faible au Japon, à peine 2 %.
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"average inflation of Japan in 2022: 2.22 %"
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C'est vrai, mais à nuancer, car pour le Japon, c'est un taux d'inflation conséquent qui a un impact plus profond que pour les autres économies.
At
“
L'inflation c'est la hausse des prix des biens et des services de consommation
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En France, "l'inflation" fait généralement référence à l'évolution à la hausse d'une moyenne, l'indice des prix à la consommation (IPC), qui est calculée "à qualité constante" et uniquement sur certains biens et certains services. Généralement, dans le langage courant, on oublie les aspects "moyenne" et "à qualité constante", subtilités dont l'importance varie suivant le contexte...
At
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Si le prix de ces énormes tuyaux de canalisation grimpe, c'est pas de l'inflation. Si le prix des rails de chemin de fer grimpe, c'est pas de l'inflation, non plus. [...] Il faut que ce soit des truc consommables.
At
“
La hausse des prix des bien immobilier ce n'est pas de l'inflation.
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En France, l'Insee considère l'achat d'un bien immobilier comme un investissement et non la consommation d'un bien ou d'un service. La hausse des prix d'acquisition des biens immobiliers n'est pas prise en compte dans le calcul de l'inflation.
At
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La hausse de loyers comptent pour l'inflation.
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"Les prix des loyers et charges ont évolué en moyenne de 1,9 % par an de 1998 à 2018, soit un peu plus que l’inflation d’ensemble (1,4 %). Le poids des loyers est faible dans l’indice des prix à la consommation (IPC), principale mesure de l’inflation, compte tenu du fait que cette dépense est nulle pour les propriétaires. Mais même si l’on restreint la mesure aux seuls locataires, l’inflation globale reste en moyenne de 1,4 % par an."
At
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L'une des deux explications de l'inflation c'est le problème de rationnement.
At
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Quand le prix d'une obligation monte, son rendement baisse, donc le taux d'intérêt qui lui est associé baisse.
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"Quand une obligation est à taux fixe, les coupons versés sont constants mais sa valeur varie en fonction de l’évolution des taux d’intérêt. En effet, quand les taux d’intérêt montent, de nouvelles obligations sont émises avec des coupons supérieurs à ceux des anciennes. La valeur de ces dernières se met donc à baisser puisque les investisseurs les vendent pour acheter celles qui rapportent plus. Inversement, quand les taux d’intérêt baissent, le prix des obligations à taux fixe déjà en circulation monte."
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Cela me semble au contraire confirmer l'affirmation : si les taux d'intérêts baissent, la valeur des anciennes obligations va monter, et leur coupon constant représente alors un pourcentage plus faible du prix de l'obligation, comme expliqué dans la vidéo.
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At
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Les États-Unis sont de loin le premier producteur mondial de pétrole devant la Russie et l'Arabie Saoudite.
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Part de la production mondiale de baril de pétrole / jour.
Etats-Unis 18,5%
Arabie Saoudite 12,2%
Russie 12,2%
At
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Guerre en Ukraine égal moins de céréales, donc prix élevés
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On constate sur le temps que cette conclusion est inexacte.
La guerre en Ukraine est toujours en cours et le cours du blé est passé en dessous de de pris d'avant la guerre.
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At
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Reprise post-COVID, problème de logistique et tout, égal prix élevé de l'énergie et produits manufacturés.
At
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Le gaz coûte cher donc les fertilisants coûtent cher donc les prix des denrées agricoles en prennent un coup.
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"A l’origine de la progression des prix des engrais, se trouve celle des prix de l’énergie"
Seul les céréales/graines sont touché fortement par cette variation des prix des engrais.
At
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L'inflation fait fondre les pouvoir d'achat des salaires et de l'épargne.
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